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© Lemunen.com : Issa-Behalal     jeudi 4 février 2016 00:00     2036

Impatiemment attendue depuis ce début 2016, Rosine Memi est rentrée de son séjour humanitaire au Cameroun où elle est partie "donner de l´espoir et du sourire aux drépanocytaires " en organisant une grandiose cérémonie d´arbre de noël á l´hôpital Laquintinie de Douala, au Cameroun.

Elle retrouve son fief parisien avec tout son carcan, mais surtout revient sur la soirée de qualité African fashion night qu´elle a organisée le 12 décembre 2015 en faveur de la lutte contre la drépanocytaire au Cameroun et appelle á l´ »union des forces » pour le bien de la culture camerounaise.

Une Soirée de haute qualité

Le 12 décembre 2015, Rosine Memi organise l´African fashion night dont les fonds collectés servent à venir en aide aux malades de la drépanocytose au Cameroun. lemunen.com Une soirée de très haute qualité marquée par la présence massive de plusieurs personnalités venues d´horizons divers.

De l´ancien ballon d´or africain Patrick Mboma á Laura Sen, sa marraine, en passant par l´artiste de renom Sam Mbendé, on notait aussi la présence de Raymond Tchiengang, Simon Mbenda de SIM Events, Serge Ngohmsi Ossalobo de Camer German Awards, DieuCyclone, Les Editions KMG. Même le journaliste sportif émérite Martin Camus Mimb, DG Radio Sport infos á Douala n´a pas voulu rater une seule tranche de cet évènement.

Et pour cause! Les mains de Rosine Memi sont sacrées car, tout ce qu´elle initie lui réussit. L´on a encore en souvenir sa précieuse contribution dans le passage très réussi du Groupe X-Maleya pour son premier passage á l´Olympia en 2014.En sa qualité de chef de projet dans la diaspora, elle sut mobiliser la diaspora en parcourant les quatre coins de l´Europe. Des exemples de projets réussis par cette dame sont légion.

Au lendemain de cette soirée réussie du 12 décembre, elle s´ envole á bord de la compagnie nationale Camer Co pour Douala, au Cameroun, avec dans des bagages remplis de cadeaux pour ses "amis drépanocytaires".lemunen.com Malgré la perte d´un bagage, toujours introuvable jusqu´á ce jour, Rosine Memi a organisé un géant arbre de noël á l´hôpital Laquintinie de Douala, en compagnie de quelques membres de la diaspora en vacances de fin d´année 2015. Y étaient aussi présents, les autorités médicales, les parents des enfants drépanocytaires et de nombreux curieux.

Mais avant de s´envoler pour le bercail, la soirée dédiée á la lutte contre la drépanocytose du 12 décembre 2015 n´a pas connu une préparation facile pour cette jeune dame de fer du showbiz qui plie certains hommes á son passage et qui n´hésitent pas á lui jeter des peaux de bananes parce que jaloux de la réussite qualitative et quantitative de tous les évènements dans lesquels elle est impliquée.

" J´ai été persécutée par une association"

Pour Rosine Memi " On ne lance des cailloux qu´á un arbre qui porte des fruits". Car, se demande-t-elle, comment comprendre qu´elle soit convoquée á la police le 12 décembre 2015, á quelques heures de l´African fashion night, une soirée organisée au profit de la lutte contre la drépanocytose, suite á une simple lettre de dénonciation déposée par une association camerounaise basée en Belgique? Elle va y passer cinq heures d´audition, pour se laisser dire que " c´est un pur sabotage organisé".lemunen.com Au final, elle aura plutôt droit á une protection de la soirée par la police afin d´éviter que des esprits mal intentionnés ne viennent faire leur sale besogne.

Au lendemain de la soirée de gala qu´elle a organisée le 12 décembre 2015 au profit de la lutte contre la drépanocytose, Rosine Memi s´était rendue au Cameroun organiser une cérémonie d´arbre de noël.

"Seule l´union fait la force"

" L´évènementiel parisien est entrain de mourir: les salles sont vides; l´argent se perd. Il est temps de s´asseoir ensemble. On ne peut pas être des amis, mais doit pouvoir porter la même cause, c´est la culture camerounaise".

Et de conclure:
" A ceux qui m´ont boycottée" je suis ouverte à la discussion. Arrêtons de faire le mal parce qu´il ne profite à personne".

A bon entendeur!